SANS FAIRE DE BRUIT(S)...

24/01/2016

Ce soir, avec mes vieux potes, en riant avec eux, en les regardant, j’ai senti quelque chose de touchant. Ces si nombreuses années de complicité, de connerie, de franche rigolade qui font que notre amitié se renforce sans que l’on ne fasse rien de spécial, et qu’elle ne s’étiole pas alors que nos univers sont si différents. On en a perdus quelques uns au passage sans trop savoir pourquoi - et je le regrette un peu - mais notre quatuor semble tenir et dire "merde" au temps et aux aléas…

Le premier mix avec C a bien fonctionné, mon réseau proche et lointain m’a suivi et ça laisse une bonne dose d’optimisme pour la suite. D’autant plus que tout le monde s’est vraiment amusé, nous a remercié et est parti le sourire aux lèvres. Et moi ça m’a fait du bien parce que les deux dernières fois je me suis un peu planté. Après j’aimerais qu’on arrive à faire danser sur des morceaux bien rythmés et moins connus, qu’on arrive à totalement entraîner les gens sur des choses moins "évidentes". Là on l’a fait mais trop peu…

Et puis GC qui louvoie à nouveau, je suis assez déçu par cette attitude. Du coup je me suis dit que je ne me fierai plus à ce qu’elle peut raconter.

Et MA, relation fragile et qui gagne en intensité et en beauté. Cette histoire se développe sans urgence, paisiblement, dans la bienveillance et le dialogue. Proximité grandissante, corps de plus en plus en phase… J’aime ressentir ça d’autant plus que c’est nouveau pour moi de ne pas avoir trop peur (ou trop peur de la mort symbolique de quoi que ce soit)...