SANS FAIRE DE BRUIT(S)...

12/05/2016

Il y a eu ce rêve la nuit dernière - et puis celui d’une nuit antérieure avec les esprits. Très fort(s). J’y ai ressenti des choses que je ne ressens plus depuis longtemps, avec cette personne que je ne connais pas. J’ai mis ça en lien avec le stage dans les Cévennes. J’ai une ouverture sur quelque chose d’important là. Un blocage lointain que je gratte avec lenteur et qui est en train de se désagréger. J’en avais peur, ça m’effrayait de (re)connecter avec tout ça, avec cette ouverture qui vient du coeur, avec mes émotions profondes, mes désirs.
Mardi quelqu’un m’a donné juste ce qu’il me manquait pour l’intro du nouveau chapitre. Point de discussion à la piscine, une discussion sur les langues étrangères, sur la réception du monde à travers les langues étrangères. Je trouve ça plus pertinent.
J’ai revu "Les Roseaux sauvages" de Téchiné. J’en avais gardé un souvenir joyeux, presque bucolique. Et le film entier se passe sur fond de fin de guerre d’Algérie. J’avais totalement oublié. J’ai préféré cette fois-ci à la première fois.