Inlassablement, je ressens cet état de tristesse remonter… Moins fort, moins puissant, moins violent, moins prégnant mais là… Inlassablement là… Là d’autant plus quand je suis obligé de freiner mes ardeurs. Là quand j’imagine qu’avec Mag il n’y aura pas de suite… là dans l’inquiétude, quand les incertitudes se multiplient… Cette fragilité qui est mon costume depuis la fin août ne me permet pas de bien gérer ces situations qui manquent de fluidité… Du coup, ça devient compliqué, j’ai l’impression d’être un équilibriste qui voit que la corde s’use de plus en plus… C’est franchement désagréable à vivre… Mettre de la distance avec ce qu’on à envie de faire ou de vivre ne me va pas… J’attends, je doute, j’espère…